Une histoire de livre dans l’art du Codex

Quand on parle de Codex, on remonte à des siècles, car c’est le livre que l’église a utilisé au moyen Age. Le design de ce livre est à peu près pareil à celui que l’on découvre maintenant, mais avec les finitions pas bien établit. La couverture peut s’agir d’un bois très lisse, et les parchemins sont reliés à la ficelle.

L’Art des livres à travers le Codex

On ne considère pas le Codex comme un livre, mais un manuscrit parce qu’il ne contenait que quelques pages. Au début, quand on lit les versés à l’église avec les rouleaux de papiers, on se découvre que l’on se sent plus à notre aise avec le codex. Une autre manière de lire suivant les chapitres et d’interpréter les histoires par des images. Mais de cette manière, le codex dure un peu plus longtemps que le papier rouleaux.

Ecrire un texte dans le Codex

Les feuilles à l’époque ont été bien confectionnés par les plus belles parties de la peau des moutons. Elles sont bien travaillées et se relient au bout de la couverture par des ficèles. Mais on a aussi une qualité de parchemin ou de feuilles, comme le vélin ou la peau d’un veau mort-né. À cette époque, nous avons des langages différents du Codex. Alors, on trace des lignes et on commence à écrire avec des lettres très visibles, avec des titres, des initiales ainsi que les images qui font parties intégrantes d’un codex. Les marges sont faites pour les lecteurs afin qu’ils puissent y mettre des notes, des images et des informations.

Enfin, sachez qu’il faut cinq jours pour copier un article sur une page dans le codex, et en plus du temps qu’il faut au peintre d’illustrer les images.